État de l’être
Oh ! toi, femme, être de misère,
Aurais-tu un soupçon, un éclat de brillance,
Oh !
toi, femme, être de chair,
En qui nous ne pouvons jamais faire confiance !
Quand deviendras-tu valeur morale,
Que nous puissions pour toi, avoir de l'estime.
Nous essaierons alors de te trouver normale,
Et pour nous, deviendra-tu peut-être légitime.
Nous prendrons alors peut-être plaisir,
A utiliser cette chaire en désordre,
Qui pour nous inspire parfois du désir,
Car en l'utilisant, nous lui mettons enfin de l'ordre.
J.R |